5 juin 2008
°cent cinquante-sept°
Samira et la vision de la nourriture.
Un café au 21 avec Camille, et tous ces gens du milieu estudiantin qu'on y croise toujours.
Matthieu et mon professeur de chimie du lycée, qui me reconnaît.
Le répertoire de Monteverdi qui entre dans les oreilles. Et dans le coeur aussi.
La troisième Ballade de Chopin.
Les passages difficiles travaillés lentement, soigneusement.
L'attention au doigté, le soin de la pédale.
Mon sérieux m'étonne.
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