26 avril 2008
°cent dix-sept°
Lumière du soir.
Beethoven au métronome alterne avec Tod in Venedig.
La nouvelle de Thomas Mann est presque terminée,
La sonate se passe presque du tic-tac monotone.
Le jardin embaume de milles senteurs délicates et transparentes comme les ailes d'une abeille.
Les épaules sont rosées de m'être perdue trop longtemps au soleil dans l'univers de mon écrivain préféré.
Je suis encore amoureuse. Il s'appelle Tadzio, il a 14 ans, il est Polonais.
Et il est l'adolescent pâle et sublime qui se promène dans Thomas Mann.
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